X The Last Irish Orphanage X
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X Un vent qui hurle, des pleurs derrière le rideau d'une pluie battante. Orphanage surgit soudainement ... X
 
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AuteurMessage
Elizabeth McCowell
Créatrice du Forum
Elizabeth McCowell


Féminin Nombre de messages : 95
Age : 31
Localisation : En train de garder un oeil sur vous, à l'affut de la moindre erreur de votre part.
Loisirs : Mépriser, frapper, reprimander.
Citation Perso : Le Malheur des uns fait les Bonheur des Autres
Date d'inscription : 25/02/2008

Personnage
Rôle: Directrice de l'Orphelinat
Amour: Ne l'a jamais connu, et se fiche bien de le rencontrer un jour.
Amis: N'en à nullement besoin. Ses ennemis sont ses seules préoccupations.

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MessageSujet: x HISTOIRE x   x HISTOIRE x Icon_minitimeMer 27 Fév - 13:45

Xx HISTOIRE xX

x HISTOIRE x Orphanage20jl5

/!\\ Cette histoire est une pure fiction /!\\

x HISTOIRE x Orphanage20jl5

Quel pays mysterieux que l'Irlande. Personne ne sait veritablement combien de légendes, de mythes et de contes hantent ses terres aujourd'hui encore. L'Irlande, terre sauvage avec ses falaises, ses lacs, ses forêts, ses plaines verdoyantes, ses ruines et ses moutons. Nous sommes dans les années 1840. Alors que l'Irlande du Nord se veut civilisée et moderne, peuplée d'un grand nombre de villes et donc de population, l'Irlande du Sud, elle, concerve son côté sauvage et impenetrable. Peu de gens s'y aventurent, car les légendes les font frémir d'effroi. Pourtant, quelques villages dispersés arrivent à se créer entre deux landes de patures. Des villages très petits, et très misereux. Là-bas, les femmes n'ont pas de crinolines mais des haillons dechirés, les hommes ne sont pas vêtus de costumes mais de tenues de paysans. Tout le monde aimait trop partir vers le Nord, aussi, les villages ruraux comme celui de Notaerbeuk, commencaient à se vider peu à peu de leur habitants. Mais beaucoup d'entre eux étaient bien trop attachés à leurs cultures et leurs élevages. Ils formaient là toute leur richesse. Les familles de paysans étaient pauvres, certes, mais avaient un très grand sens du partage et du travail. Perdus dans leur coin paisible, au beau milieu des terres Irlandaises, il se doutaient fort peu de l'avenir qui leur était reservé ...Vers le Nord de Notaerbeuk se fit alors construire une magnifique et très riche villa. En effet, une famille venue tout droit de Londres, avait décidée de s'installer ici. Les terres étant très peu chère en cet endroit assez desertique, elle possédait un immense patrimoine qui s'étendait loin dans les terres. Cette famille fit construire un parc, un square privé, en toute légalité. Cette famille se composait d'un homme et d'une femme, des vieillards et de deux jeunes filles. Cette famille se nommait McCowell. Les McCowell se montraint hautains et detestables envers les paysans qui se tenaient près d'eux. Ils aimaient montrer leur puissance, observer le contraste que formaient leurs riches apparences à celles, malheureuses, des pauvres gens qui les supplaient du regard. Personne n'appreciaient les McCowell. Mais personne n'osait le dire ... En effet, bien que leurs attentions furent detestables, ils se tenaient toujours du côté de la puissance. Sans vraiment s'en rendre compte, et de manière non officielle, Notaerbeuk tout entier se trouvait entre les mains des McCowell. Petit à petit, leur patrimoine s'étendait et leur villa ne faisait que devenir plus inquietante encore.La femme, Amanda McCowell, était une personne fière et vaniteuse. Haute de taille, élançé, son menton pointu toujours relevé de manière orgueilleuse face à ses interloquteurs, souriait toujours dans un rictus deplaisant. Un sourire méchant, asséné d'un regard noir et violent qui vous clouait sur place. Ses longs cheveux noirs de jais, étaient parfois relevés en un chignon strict, mais souvent détachés librement dans son dos. Elle aimait les faire virevolter devant les pauvres paysannes qui elles, n'avaient pas le temps ni les moyens pour posséder une chevelure aussi luisante et légère. Toujours maquillée, son rouge à lèvre pourpre et ses grands yeux allongés, perpetuellement habillée d'une ambple crinoline de dentelle noire et rouge, il fallait être idiot pour ne pas la trouver belle femme. Belle, mais dangereuse ... Les légendes circulaient comme quoi il s'agissait d'une sorcière empoisonneuse, magnifique comme la rose, mais mortelle par ses épines. Son mari, Alfred McCowell lui, se voulait tout aussi lugubre et meprisant. Homme de petite taille à la moustache bien taillée et au costume à fines rayures noires et grises, il se montrait toujours autoritaire face à n'importe qui. Il avait un grand sens des affaires, et savait maîtriser les autres. Il avait fait fortune dans le pétrole des années durant. Jugeant qu'il avait un compte assez élevé pour pouvoir arrêter de travailler tout en faisant vivre sa famille, il s'était donc retiré en Irlande. Ses deux filles, en revanche, n'étaient pas vraiment faites comme eux. Il y'avait Myriam et Elizabeth. Elizabeth était l'ainée, Myriam la cadette. Elizabeth était tout le portrait de sa mère. Adolescente, elle se voulait belle et redoutable. Myriam aussi était belle. L'on aurait dit deux poupées de procelaine, aux joues un peu rouges et aux anglaises bien faites. Seulement voila, si l'une était noire, l'autre était blanche comme la colombe. Myriam, en cachette, aimait sortir de chez elle et rendre visite aux paysans. Là, elle leur donnait quelques pièces d'argent, de la nourriture, des vêtements. Elle appreciait le fait d'aider les autres, d'être proche des gens, même s'ils n'appartenait pas à son milieu social. Sa soeur, elle, les meprisait, jouait de vilains tours aux filles pauvres de son àge. Elle se disputait très souvent avec sa soeur. Bref, la vie s'ecoulait de cette manière, sans que personne ne s'en plaigne veritablement.
Seulement voila, le malheur s'abattit bien vite. En effet, un jour, dans un des pauvres foyers de Notaerbeuk, un enfant tomba gravement malade. Cet enfant avait attrapé la peste ... La peste était peu fréquente à cet époque. Du moins pas dans les villages proches de maisons de soins ou de quarantaines. La pluie s'était abattue, l'hiver approchait. Les hommes comme les femmes s'étaient réunies autour de ce jeune garçon au lieu de l'éviter. La maladie se propagea très vite ... Les villages se cotoyants créaient alors un lien direct entre eux, et la maldie ne fit que s'accroître encore et encore. Quand les gens ne mourraient pas, il decidaient de partir, laissant derrière eux pratiquement toute leur vie. Les villages degrossissaient alors, devenaient desertiques, tandis que les cimetières, eux, s'etendiane sur de longues terres. Dans ce malheur, les McCoweel, eux aussi, avaient decidé de s'enfuir. Mais en vérité, la famille s'était comme coupée en deux ... En effet, Alfred McCowell savait qu'il était capable de refaire sa vie ailleurs et autrement. Mais sa femme desirait rester, jugeant que la villa était trop smptueuse pour la laisser derrière eux. Myriam et sa mère, donc, restèrent dans la villa, seules, tandis que Elizabeth et son père partirent loin, très loin. Durant plusieurs années, seules les lettres furent les témoins de l'enfer que vivaient finalement Madame McCowell et sa fille Myriam. Mais Alfred McCowell s'en moquait: il avait refait sa vie avec une autre femme ... Elizabeth, elle, ne vivait pas la vie dont elle avait rêvée. Elle revoyait ses plaines irlandaises, ces grands murs de pierre dans lesquels elle avait grandit. Sans que son père le sache, elle envoya une lettre à sa mère, lui annoncant l'envie qu'elle avait de retourner en Irlande. Seulement voila, jamais n'eut-elle de réponse ... Comme elle trouva cela plutôt étrange, à l'aube de ses 20 ans, elle partit de chez elle en cachette, et retourna en Irlande. Elle s'attendait à revoir sa soeur et sa mère. Mais ses plaines irlandaises avaient totalement changées d'aspect. La mort régnait en maîtresse totale. Flagrante au milieu de toutes ces villes fantômatiques, douloureuse quand la jeune fille decouvrit le nom McCowell sur deux des tombes qui constituaient l'immense cimetière. Sa mère et sa soeur étaient décédées, dans des conditions qui, encore aujourd'hui, restent mysterieuses. Elizabeth se sentit abandonnée. Abattue par le chagrin, elle ne laissa pourtant rien paraître et partit vers la ville, dans l'espoir de renouer avec son passé qu'elle cherissait tant. L'affreuse Elizabeth n'était plus grand chose tout d'un coup ... C'est épuisée qu'elle parvint devant le portail de son ancienne bâtisse. Quelle ne fut pas sa surprise de voir " Orphanage " courroner la lourde porte d'entrée ! Elizabeth, intimidée, entra dans la villa, appeurée et surprise. A l'interieur regnait un chaos terrible. Mais aucun doute, des enfants s'étaient bien trouvés là. Certains encore se tenaient entre les murs, repliés dans un coin de la pièce. Elizabeth ne comprit rien. Une vieille femme s'était presentée comme étant l'une des servante de la villa. Elle lui expliqua alors que sa mère et sa fille, devant le malheur de cette peste qui s'était abattue sur la ville, avaient eu dans l'idée d'offrir la charité à tous les enfants qui avaient perdus leurs parents durant la maladie, ou qui avaient été abandonnés et qui se retrouvaient tous seuls. Elizabeth n'en fut pas surprise. La servante enchaîna sur le fait que, recemment, toutes deux s'en étaient allées sans rien dire. On les avait retrouvées au bas de la falaise, mortes. La jeune fille se remit bien vite de ses surprises. Elle regardait tout autour d'elle. Pourquoi pas, après tout ? Pourquoi pas reprendre l'Orphelinat, ne serait-ce que pour la mémoire de sa mère qui, soudain, lui manquait terriblement ? La perte de sa soeur était douloureuse aussi. Mais celle de sa mère était si poignante que Elizabeth en decida qu'il était ainsi. Qu'elle devait reprendre l'Orphelinat en mains. Jamais plus elle ne retourna auprès de son père. Elle rebattit l'Orphelinat, accueillit nombre d'enfants, tous plus terribles les uns que les autres. Sa bâtisse fut connue dans toute la région, même dans toute l'Irlande. Mais à la mort de la servante, l'ambiance changea totalement et la réputation de l'Orphelinat se fit alors moins brillante ... Elizabeth était redevenue celle qu'elle était avant. Et avec elle, retombait dans le noir cet Orphelinat aux allures si mysterieuses, à l'apparence si particulière. Maintenant, à vous de tracer son histoire. Car elle est loin d'être finie ...

FIN

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